Ceci n'est pas ma place [Mikaru]

Un carrosse était arrivée en fin de journée, alors que le soleil était toujours là lui. Abritée du soleil, elle entra à l'intérieur, où les vitres étaient cachées avec des rideaux, empêchant le moindre rayon de soleil de pénétrer l'intérieur du véhicule. Elle savait déjà où elle se rendait... En enfer, au Palais des Démons. Et là-bas, Hakua savait qu'elle allait devoir rencontrer son père, et fort probablement, son époux. Le voyage dura deux bonnes heures, et le serviteur humain fit une halte, pour ôter les rideaux. Hakua put alors voir les paysages rougeâtres des Enfers, ces lieux où elle était née, soupirant. Elle n'avait guère envie de se rendre là-bas, mais elle savait qu'elle n'avait guère le choix. Alors plus tôt, elle s'était préparée selon les voeux du serviteur que son père lui avait envoyé. Elle était vêtue avec élégance, toujours avec cette classe aristocratique. Mais désobéissant à son père, elle avait opté pour le blanc plutôt que le rouge et noir qu'il lui avait fait suggérer de porter.

Finalement, ils arrivèrent enfin, et Hakua vit la porte s'ouvrir. Elle descendit alors, accueillie par des serviteurs, qui lui offrirent un plateau avec un verre de sang. Le voyage avait été éreintant, alors elle ne pouvait qu'accepter. Son père vint, avec ce sourire hypocrite toujours présent sur ses lèvres. Et à côté de lui, l'homme charmant qui lui tenait lieu de promis. Elle les suivit alors, et alla dans la salle principale de leur palace, discutant en ces lieux sombres et plein d'élégance aristocratique. Le promis se montrait pressant à l'idée du mariage, tout autant que le père. Il finit même par dire qu'Hakua resta ici afin de célébrer le mariage avant la fin de la semaine. Ceci fit se relever brutalement la jeune aristocrate.

Hors de question ! Je refuse de me retrouver enfermée ici ! Ma place n'est pas ici, père.

Mikaru avait entendu ce matin en voulant aller se coucher que la belle Hakua était partis pour le palais des démons à la rencontre de osn père et ... a prioris de son futur époux aussi. Le Roi toujours frustré par cette affaire n'avait pas réfléchit très longtemps et c'était vêtu comme un véritable souverain. Des vêtements brodés avec des fils d'or et le reste noir, le sombre lui allait si bien. Impatientant il se téléporta là-bas pour y arriver plus vite. as la peine de vous dire qu'il entendit Hakua. Sa belle voix même si en colère résonnait comme un grelot frôler par le vent.

Le sourverain passa le pas de la porte de la salle principal et ne frappa pas, oh non. Il s'avnça tranquillement et vint près d'Hakua lui prenant la main pour un long et sensuel baisemain. Il se tourna vers le futur époux et eut un sourire moqueur en lui disant ...

"Madame ~"

Oui,il insultait l'autre et c'était voulu. Arès quoi il reporta son attention sur Hakua et son père.

"J'ai invité Dame Hakua à une réception ce soir, alors j'ai cru comprendre que ça pouvait changer sa situation tristement imposé. Bien entendu vous ne refuserez pas que le Roi invite votre fille. "

Hakua fut surprise, et son visage le démontra, lorsque le Roi entra dans la salle. Pourquoi était-il donc venu ?

Majesté ?

Que faisait-il ici ? Elle le laissa faire, encore sous le coup de la surprise. Regardant la scène, elle se demandait si son Roi était venu pour la "secourir". Elle regarda par la suite tour à tour son père et son promis, qui semblait voir rouge. Il semblait totalement énervé envers ce contretemps. Mais Hakua, elle, remerciait intérieurement Mikaru d'être intervenu, même si elle ignorait pourquoi tant de générosité de sa part.

Nous obéissons à vos ordres, Majesté. affirma le père. Hakua. Cette discussion n'est pas terminée ma fille.
Croyez bien que j'espère le contraire. Je ne souhaite pas me plier à de telles volonté, père.

Se tournant ensuite vers Mikaru.

Permettez que je vous accompagne, Majesté ?

Discussion pas terminé ? Mikaru jeta un regard furtif au père ainsi qu'au futur époux et se tourna de nouveau vers la plus belle des vampires. Elle demandait l'autorisation, il en eut un rire et lui caressa la joue du bouts des doigts la regardant de ses yeux sensuels et charmeur.

"Mais je ne vous permet pas très chère, je vous ordonne ..."

Un sourire en coin lui passa alors qu'il lui mettait la main dans le dos l'invitant à sortir. Puis il la laissa devant la porte et s'inclina.

"Je vous demande un court instant de rester seule ci, j'ai une dernière chose à régler . "

Mikaru se rendit de nouveau dans la salle fermant la porte. Son regard devint tout de suite plus froid . Il invita alors le futur époux à lui rendre visite dans sa suite très prochainement avant de sortir rejoindre Hakua .

"Et bien je vois que vous aviez l'air très heureuse ..."

Toujours aussi direct n'est-ce pas ? Hakua aimait beaucoup la prestance de Mikaru, il savait ce qu'il voulait et le faisait bien comprendre. Elle se fit accompagner à la porte, et le regarda un instant, alors qu'il parlait. Hakua s'inclina, pour montrer qu'elle avait comprit, et se fit patiente. Elle resta à attendre, patientant simplement, en se demandant ce qu'il pouvait bien faire. Mais qu'importait, il devait avoir des problèmes à résoudre avec eux. Il était vrai que son père et son promis étaient deux hommes importants dans la hiérarchie vampirique.

Il revint et Hakua s'inclina pour le saluer.

Cet entretien a été décidé aujourd'hui même... Je n'ai pu m'y opposer et n'ai eu que le temps de me préparer. Malgré tout la répugnance que m'inspire cette idée de mariage forcé, je n'en reste pas moins une promise. Je dois donc savoir me présenter, notamment à mon futur époux, sachant ses goûts.

Cet histoire de mariage déplaisait fortement à Mikaru qui grimaça alors immédiatement avant de rire car Hakua l'avait vu faire .

"C'est vrai, il est répugnant ~"

Le Roi s'approcha ensuite d'elle sans aucun gêne et vint vers se slèvres les frôlant des siennes . Lui n'avait envie que d'une seule femme, celle-ci, non pas parce qu'elle était promise à une autre mais bien parce qu'elle lui plaisait .

"Mais il a bon goût ... "

Elle fut surprise de la grimace de Mikaru, mais eut un sourire. Il était bien un être vivant, à agir de la sorte, et il restait plus "humain".

Il est plutôt bel homme et a certaines qualités... Mais il a bien trop de défauts pour que tout ceci me satisfasse.

Elle se mordit la lèvre quand il vint frôler ses lèvres des siennes, se souvenant de leur baiser qu'ils avaient échangé dans la suite royale. Hakua se sentit flattée à son compliment, et s'inclina, avant de se permettre l'affront d'embrasser la mâchoire de son Roi.

Vos compliments me vont droit au coeur, Majesté... Sachez que je n'ai jamais vu plus bel homme que vous. Vous avez tout ce qu'il faut à un Roi. Vraiment.

Le coeur glacé du Roi ne pouvait cependant pas être aussi tendre que celui d'un humain. Il eut un sourire sadique quand elle lui embrassa la mâchoire avant de lui caresser les cheveux les téléportant tout deux chez lui, dans sa suite, un endroit tranquille sans les deux hommes de là-bas qui cherchait à lui enlever Hakua.

"Ce que je ne comprend pas c'est que votre père gagnerait tellement plus en donnant votre main au Roi ... Il y a donc dans son action une grande incompréhension de ma part .."

Ses lèvres s'attardèrent sur l'oreille de la belle laissant glisse rune main dans sa nuque pour la arder à distance d'un baiser. Mais il respectait cette femme oui, cependant rester aussi prêt d'une pareille beauté était frustrant .

Il n'avait pas tort... Mais... Hakua pensait avoir l'explication.

Je crois que vous lui faites peur. Enfin... Le fait que soyez Roi. Il est un homme arrogant vous savez, et méprise les femmes. Il ne veut pas être inférieur à un autre homme, et surtout pas par rapport à sa fille. Je ne suis qu'un instrument pour lui. Oui, votre statut lui apporterait bien plus, et surtout ce qu'il désire : de l'argent, du pouvoir... Mais vous lui êtes supérieur. Et cela, il ne le tolère.

Son regard se plongea dans celui du Roi, sa main se levant pour caresser son visage.

Je vous prie de bien me croire que j'aurai été honorée de vous être promise. Non pas pour votre statut de Roi, mais par ce que vous êtes et qui vous êtes. Vous êtes le genre d'homme dont rêvent les femmes. Et j'avoue... le genre d'homme au bras duquel j'aimerais être.

Hakua était gentille dans ses propos mais quelques peu naïve quand même. Elle ne connaissait pas si bien que ça le Roi et ses pensées les plus enfouies, inconsciente.

"Il y a d'autres vampires, pleins le château tu sais qui sont de grandes personnes . "

Le Roi se détacha d'elle et se servit un verre de whisky qu'il descendit d'une traite avant de regarder la belle blonde une nouvelle fois .

"Hakua, j'aime ta présence, mais de jour en jour mon envie pour toi grandit ..."

Oui, il y en avait plein, mais personne ne lui avait fait la cour ici... Et le regard de son père s'était jeté sur le jeune homme, ce vampire aux ambitions importantes. S'il savait la vérité... Le Roi le tuerait sans doute dans les pires souffrances. Mais mieux valait taire cela, Hakua savait que son Roi n'était pas un homme facile à berner, il connaîtra la nature même de ce complot bien assez tôt. Elle espérait seulement qu'il soit objectif vis-à-vis d'elle.

Votre envie de moi, Majesté ?

De quoi pouvait-il donc bien avoir envie par rapport à elle ? Une envie de l'avoir avec lui ? Ou bien...

Oui une envie d'elle, dévorante et de plus en plus brûlante à chaque seconde . Mais pour qu'elle comprenne bien il lui expliqua .

"Je te désire sur beaucoup de points de vue Hakua, mais tu es une femme ravissante, et moi un vampire, mâle , je te veux dans le sens que te faire l'amour ne me déplairait pas là tout de suite, dès que je te vois . "

Comme la soif de sang, cela devenait obsédant, une drogue auquelle il était adicte sans y avoir gouté.

Hakua se mit à rougir violemment et recula, se heurtant au mur.

Je...

Son coeur se mit à battre à tout rompre. Oserait-elle lui dire que cette envie était partagée ? Mais... Hakua n'était encore qu'innocente, bien qu'ayant déjà de l'expérience dans ce domaine, elle n'avait jamais été pénétrée, donc elle était encore vierge.

J'en suis honorée, Majesté...

Elle détourna tête et regard, se sentant gênée de produire un tel désir à son souverain.

Je partage votre désir... Je vous l'avoue. Mais... je suis promise... et dois me conserver jusqu'au mariage... Bien que j'aimerais éviter tout cela, que j'aimerais vous l'offrir... je dois éviter...

Elle avait à vrai dire l'air paniqué et Mikaru se sentit soudain très mal. Lui faisait-il peur ? La belle avoua cependant partage son envie, tant mieux il en était heureux ... Mais pourqooi tant de peur ?

"Hakua, tu sais très bien que je ne te réclamerai pas ta virginité. Je te préviens seulement que j'ai en permanence un sentiment de frustration, je ne peux t'épouser, et je ne peux être ton amant, comprends simplement cela, mais n'ai pas peur de moi, je ne te toucherai pas ... "

Pas contre son gré, non il la respecterai jusqu'au bout .

Elle l'écouta attentivement, et alla vers lui.

Ne me jugez pas, Majesté... Je vous en prie...

Se blottissant contre lui, Hakua remonta ses mains le long du torse de son Roi, allant embrasser ses lèvres.

Promettez-le moi...

Elle ne désirait se taire davantage. Ses désirs étaient partagés, alors pourquoi se retenir ? Il était le Roi, il avait donc tout pouvoir sur les siens. Elle pouvait le lui demander...

Il haussa un sourcils avant d'avoir les mains de la belle sur son torse et ses lèvres contre les siennes. Ne pas la juger ? Avait-elle trop culpabilisé?

"Ne te force pas Hakua ..."

Ses lèvres vinrent embrasser les siennes encore et encore tandis qu'il la faisait reculer jusqu'au mur descendant ses mains sur ses hamches pour les lui caresser sans quitter ses douces lèvres .

Jamais je ne me forcerai avec vous... Sauf si on me demande de vous trahir.

Les baisers se stoppèrent, Hakua fixant le regard de son Roi avec sérieux.

Ils sont au courant de notre proximité. Et ils veulent l'utiliser... Ils savent votre jalousie, je ne sais comment, et je ne sais si c'est vrai... Mais le fait est qu'ils veulent se servir de cela... afin de vous détrôner.

Hakua baissa la tête, s'éloignant de Mikaru, par honte.

Je ne peux me taire plus longtemps, et je me meurs de honte. Je ne souhaite que votre bonheur, je vous aime, vous admire et vous respecte de toute mon âme, Majesté.

Mikaru avait mal saisit ce rapprochement . Elle lui avouait en fait quelque chose... Le Roi fut abasourdi de cet aveu. Avait-elle marché dans la combine auparavant et finalement craqué ? Il n'osait la regarder, ses yuex balayèrent le sol avant qu'il ne s'appuie contre une commode en bois très cher. Son autre main libre lui tint la tête comme s'il venait d'apprendre une nouvelle boulversante. Il comprenait mieux à présent. Le Roi fronça les sourcils et se mit à grogner . Sa colère était tout d'un coup immense et une aura meurtrière règnait dans la pièce . Oui il était blessé de ne pas avoir été prévenu plus tôt, ses yeux ne regardèrent pas Hakua, il avait honte de sa faiblesse et de la tendresse qu'il avait pour cette femme .

"Regagner vos appartements je vous prie ."

Hakua se mordit la lèvre, s'en voulant terriblement. Mais avant de partir.

Je n'ai jamais été pour... depuis l'instant où je l'ai su. C'est-à-dire juste avant que vous arriviez il y moins d'une heure.

Elle venait tout juste d'avoir été mise au courant, et avait craint pour la vie du Roi. Elle savait au fond d'elle qu'il s'en serait sorti, mais...

Je vous l'ai dit... car j'ai crains pour votre vie. J'ai confiance en vous, Majesté... mais j'ai peur qu'il vous arrive quoi que ce soit... Voilà pourquoi je n'ai pu me taire, malgré les promesses et menaces.

Et elle sortit.

Il la regarda sortir le regard triste. Il n'avait plus vraiment le choix, se battre, tuer, redevenir l'animal. Pourquoi ce monde n'avait que des problèmes qui demandaient à être régler ainsi ? Le vampire grogna pour lui même et brisa son verre avant de se téléporter chez le futur époux. Inutile de vous dire que ce fut un carnage. Des deux côtés bien entendus car Mikaru n'était pas non plus tout puissant, mais c'est lui qui gagna le combat. Mikaru en finit avec lui en le balançant a travers la fenêtre dans la lumière du soleil avant de se téléporter dans la chambre d'Hakua.

Ses lèvres tachés de sang restaient entrouvertes, essouflés il luttait contre l'évanouissement. Une de ses mains était serré sur le tissus de sa veste comme s'il retenait son coeur de sortir de sa poitrine et son autre épaule était tombante . Il avait subit des blessures mais avait survécu. Pour elle . Il avait maintenant deux choix possible, où elle l'avait effectivement trompé et elle désirait sa mort dans ce cas venir ici lui facilitait la tâche, ou alors elle était vraiment de son côté et le sauverait aujourd'hui .

Tout ça se passa un bref instant, il se téléporta dans les appartements de la blonde et tomba nez à nez avaec elle avant de s'écrouler à terre.

Hakua était retournée dans ses appartements, se demandant bien ce qu'elle pouvait faire, et si son Roi lui pardonnerait... Elle aurait préféré ne jamais vivre ça. Tout à coup, elle entendit et sentit quelque chose, et se tourna vivement.

Majesté... ?

Il avait l'air épuisé... Aurait-il... ? Oui, c'était certain. Et il semblait être victorieux, ce qui fit sourire Hakua, la faisant soupirer de soulagement. Son Roi était en vie, mais il avait apparemment mené un rude combat. Son coeur rata un battement quand elle le vit s'effondrer.

MAJESTE ! cria-t-elle, apeurée.

Elle se précipita vers lui, lui soutenant la tête. Que pouvait-elle donc pour aider son Roi ? Il n'y avait qu'une chose à faire... Il lui fallait du sang. Mais elle n'avait pas le droit... Arawn la pardonnera. Elle n'avait pas le choix, la survie de Mikaru en dépendait. Elle se mordit l'intérieur de la main, et appuya pour faire couler le sang, posant sa main sur les lèvres de son Roi.

Ne prenez pas en compte nos lois et nos privilèges. Rétablissez-vous Majesté. Il faut que vous restiez parmi nous, vous devez vivre. Je ne supporterai pas de vous perdre...

Hakua se pencha pour l'embrasser sur le front, et espérait qu'il allait boire. Cela lui donnerait des forces, suffisamment pour qu'elle puisse le soigner en toute tranquillité, sans craindre pour sa santé.

Le Roi n'avait plus vraiment conscience de ce qui l'entourait, il voyait une femme magnifique et sentait l'odeur d'un sang qu'il avait longtemps refusé de boire. Son premier réflexe fut de tourner la tête pour refuser l'offre mais la tentation était trop forte et le besoin remporta à cet instant. Il vint sucer son sang comme il le pouvait histoire de rester au moins l'ombre de lui même. Son corps puissant ne se lèverait pas quoi qu'elle tente, il était blessé et à bout de force .

"Haku..."

Le sang qu'elle lui offrit lui permis de rester un peu plus longtemps conscient jusqu'à ce qu'il tombe dans l'insconsience, un monde bien plus tranquille .

Le voyant perdre conscience, des larmes se mirent à couler de ses yeux. Etait-il en vie ? Elle chercha à le savoir et le découvrit. Elle fut alors rassurée, et sourit, caressant le visage de son Roi.

Je vais prendre soin de vous, mon aimé.

Elle lui aurait bien prit un baiser, mais elle n'en était pas digne.

Elle le téléporta alors sur le lit, et le mit en sous-vêtements, afin de pouvoir le soigner. Hakua passa tout son temps à veiller sur lui, à panser ses plaies, les recoudre, les désinfecter. Elle ne s'accorda aucun repos, allant chercher du sang frais d'humain pour tenter de lui faire boire, pour qu'il garde des forces.

Mikaru n'avait pas conscience pour le moment. Ce fut un jour plus tard qu'il rouvrit les yeux. Il n'avait pas quitté la chambre d'Hakua, mais il n'était plus sur ce sol froid, certainement maintenant sur le lit de la belle. Elle l'avait soigné car il sentait des bandages autour de son corps . Son épaule cependant était toujours déboité. Hakua était là et il se redressa s'asseyant avant de la regarder dans les yeux. Soudain de sa main libre et emboita son épaule dans un craquement en grimaçant de douleur. Haletant il se laissa retomber. Ses plaies lui faisait beaucoup moi mal grâce à elle .

"Merci Hakua ..."

Enfin il s'était réveillée. Elle fut soulagée, et ne put s'empêcher de verser une larme de joie. Hakua le regarda faire, ne disant mot. Elle se contenta de s'incliner face à lui, lorsqu'il la remercia pour les soins.

Je suis soulagée de vous voir enfin éveillé.

Elle descendit du lit, lui apportant un verre de sang frais.

Rétablissez-vous vite...